Je n’ai surement pas compris ce qu’était la situation de la Grèce. Je suis Européen et comme beaucoup j’ai entendu des récits de la crise, aux infos, etc, mais je n’ai pas mené d’analyse sur ce sujet.
J’ai observé lors de promenades dans le centre ville d’Athènes l’expression de cette situation sur les murs ; j’étais frappé de la multitude de graffs partout partout autour.
Et mon imagination me projetait dans un monde ou le capitalisme s’était effondré, après l’Apocalypse économique.
Dans certains quartiers il y a plus de bâtiments qui paraissent sans entretien ou en ruine, ça et les graffs, les inscriptions Anarchistes, il ne m’en fallait pas plus pour voyager dans la fiction, où le monde que l’on a connu a été détruit, où le peuple a repris le pouvoir.
La notion d’argent n’est plus ; la nouvelle richesse c’est le tissu de nos relations humaines basé sur l’entraide et la solidarité.
